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Somme de VA : Bernoulli

Le cours traite de la notion de somme de variables aléatoires indépendantes, suivant une loi de Bernoulli de paramètre p. On nous donne 300 variables aléatoires indépendantes suivant une loi de Bernoulli de paramètre p=0,23. La question est de déterminer la loi suivie par la somme de ces 300 variables aléatoires et d'en déduire son espérance. Pour répondre à cette question, le cours rappelle d'abord ce qu'est un schéma de Bernoulli, qui est la répétition de n épreuves identiques et indépendantes. Ensuite, il rappelle ce qu'est une loi binomiale de paramètre np, qui est la loi des variables aléatoires donnant le nombre de succès sur les n répétitions d'un schéma de Bernoulli. Comme les x1 jusqu'à x300 sont des variables aléatoires identiques et indépendantes suivant la même loi de Bernoulli, leur somme, notée x, suit une loi binomiale de paramètre n=300 et p=0,23. L'espérance de x est alors calculée en utilisant le rappel selon lequel l'espérance d'une variable aléatoire suivant une loi binomiale est égale à n fois p. Dans notre cas, l'espérance de x est donc égale à 300 fois 0,23, soit 69.
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Somme de VA de même loi

Dans cette vidéo, Corentin aborde un exercice de probabilité concernant une roue de loterie. La roue comporte cinq secteurs avec des valeurs de points différentes. En faisant tourner la roue quatre fois, on obtient un gain algébrique en points représenté par la variable aléatoire Z. L'objectif est de décomposer Z en une somme de variables aléatoires identiques et indépendantes, puis de calculer son espérance. En analysant l'énoncé, Corentin remarque que Z est la somme des variables aléatoires x1, x2, x3 et x4. Il explique que Z peut prendre des valeurs positives ou négatives, selon les gains obtenus lors des lancées de roues. Pour chaque lancé, les variables x1, x2, x3 et x4 suivent une loi spécifique : 300 avec une probabilité de 0,4, 100 avec une probabilité de 0,2 et -400 avec une probabilité de 0,4. En appliquant les propriétés de l'espérance, Corentin calcule l'espérance de chaque variable x, puis les additionne pour obtenir l'espérance de Z. Il montre que l'espérance de x est égale à -20, ce qui signifie que, en moyenne, les joueurs perdent 80 euros ou 80 points en jouant à ce jeu. Ainsi, le résumé SEO friendly du cours pourrait être : "Dans cette vidéo, Corentin résout un exercice de probabilité portant sur une roue de loterie. En décomposant la variable aléatoire Z en une somme de variables identiques et indépendantes, il calcule l'espérance du gain algébrique en points obtenu après quatre lancées. En moyenne, les joueurs perdent 80 points ou 80 euros en jouant à ce jeu."
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Modéliser par une somme (1)

Le cours traite de la modélisation probabiliste d'événements à l'aide de variables aléatoires. Il présente un jeu consistant à lancer un dé tétraédrique et un dé cubique, puis à étudier la somme de leurs résultats. Pour modéliser cette situation, deux variables aléatoires x et y sont proposées, où x représente le résultat du dé tétraédrique et y représente le résultat du dé cubique. La somme x + y est utilisée pour représenter la somme des résultats des deux dés. L'approche recommandée est de penser de manière logique et de considérer les résultats des dés comme les valeurs des variables aléatoires. Le cours propose également un bonus, qui consiste à calculer l'espérance de la somme x + y. En utilisant l'inégalité de l'espérance, il est démontré que l'espérance de x + y est égale à l'espérance de x plus l'espérance de y. Puisque les résultats des dés sont considérés comme équiprobables, les calculs sont effectués en multipliant les valeurs possibles par leurs probabilités respectives. Finalement, il est conclu que l'espérance de x + y est égale à 6, ce qui peut être interprété comme la moyenne des scores obtenus dans le jeu.
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Modéliser par une somme (2)

Dans cette vidéo, Corentin aborde la notion de somme de variables aléatoires en utilisant un exemple concret. Il commence par présenter l'exercice qui consiste à étudier les tirs réussis par Elia lors d'un entraînement au jet de 7 mètres. Elia a effectué 30 tirs le matin et 50 l'après-midi, avec des probabilités de réussite de 0,46 et 0,78 respectivement. Les tirs sont considérés comme indépendants les uns des autres. En utilisant les notations x et y pour le nombre de tirs réussis le matin et l'après-midi, on nous demande de déterminer la loi suivie par x et y. Il est ensuite demandé de comprendre ce que représente la somme des variables aléatoires x et y, puis de calculer leur espérance et de l'interpréter. On constate que x suit une loi binomiale de paramètres 30 et 0,46, tandis que y suit une loi binomiale de paramètres 50 et 0,78. La somme des variables aléatoires x et y représente le nombre total de tirs réussis au cours de la journée. Pour calculer l'espérance de x plus y, Corentin rappelle que l'espérance d'une variable aléatoire binomiale est égale à sa probabilité de réussite multipliée par le nombre de tirages. En utilisant cette formule, il trouve que l'espérance de x plus y est égale à 45. Cela signifie qu'Elia peut espérer réussir 45 tirs au cours de la journée. Ce résumé en SEO friendly du cours met en valeur les points essentiels tels que les variables aléatoires, les lois binomiales, la somme des variables aléatoires et l'espérance.
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Somme de VA : Bernoulli

Dans cet exercice, nous avons 300 variables aléatoires indépendantes suivant la même loi de Bernoulli de paramètre p = 0,23. La question est de déterminer quelle loi suit la somme de ces 300 variables aléatoires, que nous appellerons x. Pour résoudre cet exercice, nous faisons quelques rappels théoriques. Tout d'abord, un schéma de Bernoulli est la répétition de n épreuves de Bernoulli identiques et indépendantes. Ensuite, une loi binomiale de paramètre np est une loi des variables aléatoires donnant le nombre de succès sur n répétitions d'un schéma de Bernoulli. Dans notre cas, les variables aléatoires xi, de x1 à x300, sont indépendantes et suivent une loi de Bernoulli de paramètre p = 0,23. En les sommant, nous comptons le nombre de succès sur les 300 répétitions. Donc, x suit une loi binomiale de paramètre n = 300 et p = 0,23. Finalement, nous utilisons le rappel selon lequel l'espérance d'une variable aléatoire suivant une loi binomiale est égale à np. Dans notre cas, n = 300 et p = 0,23, donc l'espérance de x est égale à 300 * 0,23 = 69.
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Somme de VA de même loi

Dans cette vidéo, Corentin aborde un exercice de probabilité concernant une roue de loterie. La roue comporte cinq secteurs angulaires égaux, avec les deux premiers valant 300 points, le troisième valant 100 points et les deux derniers valant moins 400 points. La roue est tournée quatre fois, et le gain total est représenté par la variable aléatoire Z. Corentin explique que Z peut être décomposée en une somme de variables aléatoires identiques et indépendantes, représentées par x1, x2, x3 et x4. Chaque xi représente le gain algébrique au ième lancé de roue, pouvant être positif ou négatif. En utilisant les probabilités données dans l'énoncé, Corentin calcule ensuite l'espérance de chaque xi et arrive à l'espérance de Z, qui est égale à 4 fois moins 20, soit moins 80. Ainsi, en moyenne, les joueurs vont perdre 80 euros ou 80 points en jouant à ce jeu-là. La transcription de la vidéo pourrait être résumée en termes SEO-friendly comme suit : Dans cet exercice de probabilité, Corentin analyse le gain potentiel d'une loterie avec une roue comportant différents secteurs de points. Il décompose la variable aléatoire Z en variables aléatoires identiques et indépendantes, puis calcule l'espérance de Z. En utilisant les probabilités du jeu, il conclut que les joueurs vont perdre en moyenne 80 euros ou 80 points.
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Modéliser par une somme (1)

Dans cette vidéo, Corentin aborde le sujet des variables aléatoires et de la modélisation probabiliste d'événements. Il présente un jeu qui consiste à lancer un D tétrahédrique (à 4 faces numérotées de 1 à 4) ainsi qu'un D cubique (à 6 faces numérotées de 1 à 6). L'objectif est d'étudier la somme des résultats des deux lancers, et il est demandé de proposer deux variables aléatoires x et y pour modéliser cette situation. Corentin recommande de réfléchir à cette situation en se mettant dans la peau d'un programme informatique. Ainsi, il propose que x représente le résultat du lancer du D tétrahédrique, et y représente le résultat du lancer du D cubique. Ensuite, il explique que la somme des variables x et y sera la somme des résultats des deux lancers. En guise de bonus, Corentin propose de calculer l'espérance de la somme x plus y. En utilisant l'inégalité de l'espérance, il déclare que l'espérance de x plus y est égale à l'espérance de x plus l'espérance de y. Il considère que les résultats des lancers des deux dés sont équiprobables, ce qui signifie que chaque issue a la même probabilité de se produire. Pour calculer cette espérance, il multiplie le quart de la probabilité du D tétrahédrique par la somme des chiffres possibles (1, 2, 3, 4), et ajoute au produit le sixième de la probabilité du D cubique multiplié par la somme des chiffres possibles (1, 2, 3, 4, 5, 6). Il obtient finalement une espérance de 6. En conclusion, Corentin explique que l'on peut interpréter cette espérance comme étant la valeur moyenne du score obtenu lors de ce jeu, où l'on lance un D tétrahédrique et un D cubique.
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Modéliser par une somme (2)

Dans cette vidéo, Corentin aborde la notion de somme de variables aléatoires en se basant sur un exercice. Le problème consiste à étudier les tirs réussis par Elia le matin et l'après-midi. Il est donné que le matin, Elia fait 30 tirs avec une probabilité de réussite de 0,46, et l'après-midi, elle fait 50 tirs avec une probabilité de réussite de 0,78. Dans un premier temps, Corentin analyse les variables aléatoires x et y qui représentent respectivement le nombre de tirs réussis par Elia le matin et l'après-midi. Il remarque que ces variables suivent une distribution binomiale car il s'agit d'une somme de succès (tirs réussis). Pour x, la loi binomiale a un paramètre 30 (nombre de tirs) et 0,46 (probabilité de réussite du tir le matin). Pour y, la loi binomiale a un paramètre 50 et 0,78. Ensuite, Corentin explique que la somme des variables aléatoires x et y, c'est-à-dire x plus y, représente le nombre total de tirs réussis dans la journée. Enfin, il calcule l'espérance de x plus y en utilisant la propriété de linéarité de l'espérance. Il rappelle que l'espérance d'une variable aléatoire binomiale est égale à n fois p, où n est le nombre de tirs et p est la probabilité de réussite du tir. Il obtient que l'espérance de x plus y est égale à 45, ce qui signifie que dans la journée, Elia peut espérer réussir 45 tirs.
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Somme de VA : Bernoulli

Dans cet exercice, nous avons 300 variables aléatoires indépendantes suivant une loi de Bernoulli de paramètre p = 0,23. La question est de déterminer la loi de la somme de ces 300 variables aléatoires, notée x. Pour répondre à cette question, nous faisons deux rappels. Tout d'abord, un schéma de Bernoulli est la répétition de n épreuves de Bernoulli identiques et indépendantes. Ensuite, nous rappelons que la loi des variables aléatoires donnant le nombre de succès sur les n répétitions est appelée loi binomiale de paramètre np. En sommant les 300 variables aléatoires identiques et indépendantes, nous comptons le nombre de succès sur les 300 répétitions. Puisque x1 à x300 suivent la même loi de Bernoulli avec p = 0,23, lorsqu'il y a un succès, la variable xi sera égale à 1 et pour un échec, elle sera égale à 0. Ainsi, nous déduisons que x suit une loi binomiale de paramètre n = 300 et p = 0,23. En appliquant le troisième rappel qui nous dit que l'espérance d'une variable aléatoire suivant une loi binomiale est égale à n fois p, nous obtenons que l'espérance de x est égale à 300 * 0,23, soit 69.
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Somme de VA de même loi

Dans cette vidéo, Corentin nous présente un exercice de probabilité concernant une roue de loterie. La roue comporte cinq secteurs angulaires égaux, où les deux premiers valent 300 points, le troisième vaut 100 points et les deux derniers valent -400 points. En faisant tourner la roue quatre fois, nous obtenons la somme de points gagnés lors de ces quatre lancées, représentée par la variable aléatoire Z. Nous devons décomposer Z en une somme de variables aléatoires identiques et indépendantes, puis calculer l'espérance de Z. En utilisant un dessin de la roue, Corentin explique que Z est égal à la somme des variables aléatoires x1, x2, x3 et x4. Z représente le gain algébrique en points à la fin du jeu, pouvant prendre des valeurs positives ou négatives. Les x1, qui représentent le gain algébrique lors du ième lancé, suivent la loi suivante : 300 avec une probabilité de 0,4, 100 avec une probabilité de 0,2 et -400 avec une probabilité de 0,4. Pour calculer l'espérance de Z, Corentin utilise la propriété de linéarité de l'espérance. Ainsi, l'espérance de Z peut être décomposée en l'espérance de x1 plus l'espérance de x2 plus l'espérance de x3 plus l'espérance de x4. Puisque toutes les variables x suivent la même loi, l'espérance de x est égale à (300*0,4) + (100*0,2) + (-400*0,4), ce qui donne -20. En conclusion, l'espérance de Z est égale à 4 fois -20, ce qui donne -80. Cela signifie que, en moyenne, les joueurs perdront 80 euros ou 80 points en jouant à ce jeu.
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Modéliser par une somme (1)

Dans cette vidéo, Corentin aborde le sujet des variables aléatoires et de la modélisation probabiliste d'événements et d'expériences. Il propose ensuite un exercice qui consiste à lancer un dé tétrahédrique (avec quatre faces numérotées de 1 à 4) et un dé cubique (avec six faces numérotées de 1 à 6) pour étudier la somme des résultats obtenus. Il demande alors de proposer deux variables aléatoires x et y pour modéliser la situation, où x représente le résultat du dé tétrahédrique et y le résultat du dé cubique. Il explique que la somme des deux variables, x + y, représente la somme des résultats des deux lancers de dés. Ensuite, Corentin suggère de penser à cet exercice comme le ferait un programme informatique, de manière logique et sans trop de questions. Il justifie que x représente le résultat du dé tétrahédrique et y celui du dé cubique. Il compare cette approche à celle d'un programme informatique qui lance les dés et fait la somme des résultats. En bonus, Corentin propose de calculer l'espérance de x + y, en utilisant l'inégalité de l'espérance. Il explique que puisque les quatre faces du dé tétrahédrique ont la même probabilité et de même pour le dé cubique, on peut calculer l'espérance en multipliant chaque résultat possible par sa probabilité et en les additionnant. Finalement, il trouve que l'espérance est égale à 6, ce qui peut être interprété comme la moyenne du score obtenu dans ce jeu où un dé tétrahédrique et un dé cubique sont lancés.
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Modéliser par une somme (2)

Dans cette vidéo, nous abordons la notion de somme de variables aléatoires en profondeur. On nous présente l'exercice suivant : Elia effectue des tirs au jet de 7 mètres ; elle fait 30 tirs le matin et 50 l'après-midi. La probabilité qu'elle réussisse un tir est de 0,46 le matin et de 0,78 l'après-midi. Les tirs sont considérés indépendants. On nous demande tout d'abord de déterminer la loi de la variable aléatoire x (nombre de tirs réussis par Elia le matin) et de la variable aléatoire y (nombre de tirs réussis par Elia l'après-midi). On remarque que les variables x et y suivent une loi binomiale avec respectivement les paramètres 30, 0,46 pour x et 50, 0,78 pour y. La somme des variables aléatoires x et y représente le nombre de tirs réussis dans la journée. Enfin, on nous demande de calculer l'espérance de x plus y, qui correspond à l'espérance de x plus l'espérance de y en raison de la linéarité de l'espérance. On utilise la formule de l'espérance d'une variable aléatoire binomiale pour obtenir une espérance de 45. Cela signifie qu'Elia peut espérer réussir en moyenne 45 tirs dans la journée.